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 Maaya la Lune Noire

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Maaya la Lune Noire
|Admin|Chef des Dragons|
Maaya la Lune Noire


Nombre de messages : 240
Clan : Dragons
Date d'inscription : 30/06/2005

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MessageSujet: Maaya la Lune Noire   Maaya la Lune Noire EmptyMar 26 Juil à 20:27

Nom : Ibsen
Prénom : Maaya
Surnom : Maaya la Lune Noire

Âge : 69 ans
Date de naissance : 26/11/1781
Lieu de Naissance : Kyoto
Nationalité : Norvégienne

Race : vampire
Clan : Dragons
Rang : Chef

Famille : la ligné Ibsen, elle a renié sa famille humaine
Histoire : Né le 26 Novembre 1781 à Kyoto, au 18eme siècle, Maaya ne connut pas pour autant le Japon. Ses parents émigrèrent en toute illégalité vers la France, plus précisément à Paris. Là, la jeune japonaise grandit tranquillement et seule. Ses parents tenaient un petit commerce de poupées typées asiatiques, et jamais Maaya n’y posa un pied. Ses centres d’intérêts de trouvant dans les études, la lecture et l’art, elle se trouvait souvent une bibliothèque où elle dévorait les volumes, et son excellente mémoire se chargeait de lui faire retenir ce qu’elle lisait. C’est d’ailleurs la seul chose dû à ses parents dont elle soit fière : ils lui avait, très tôt, appris à lire aussi bien le français que le japonais. Puis, vers ses vingt ans, vint le moment pour elle de gagner son argent. N’ayant aucune envie de tenir quelconque commerce ou autre, elle ruina ses parents pour du matériel de peinture et s’installa dans la rue, où elle peignit tout ce qu’elle voyait. Vendant ses toiles, elle finit bientôt par être un peu reconnue dans le quartier. Elle fit le portrait des passants un peu fortuné à qui elle vendait ses toiles, et bientôt elle gagna assez d’or pour pouvoir vivre seule tout en se payant son matériel d’art. Mais elle n’eut pas l’occasion de se chercher une chambre, qu’un homme fort élégant, étranger, demanda à avoir un tableau. Il était norvégien, et se nommait Sigfrid Ibsen. Aux quelques mots qu’il prononça, la jeune japonaise garda tout de suite en mémoire les sonorités de cette langue nouvelle pour elle. Non dérangée par l’heure tardive à laquelle le Norvégien avait demandé sa toile (aux alentours de minuit, une heure du matin), Maaya s’exécuta et lui vendit tranquillement son œuvre. Ce dernier, pourtant, semblait hésiter. Puis finalement, il prit la toile, et partit en donnant un petit carton au peintre. Vexé de l’hésitation de l’étranger, Maaya ne prit pas d’abord attention au carton. Mais en voyant qu’il s’agissait d’une invitation dans un théâtre le lendemain soir, elle en oublia sa frustration…
Lorsqu’elle se rendit au petit théâtre dont l’étranger lui avait donné l’adresse, elle se surprit à ne pas vouloir y aller. Ainsi elle fit demi tour, mais s’arrêta net, ayant manqué de se heurter à un homme de grande taille… son norvégien. Celui-ci s’en amusa, et l’invita, non pas au théâtre, mais à marcher tranquillement au bord de la Seine. La japonaise accepta et fit ainsi connaissance avec Sigfrid, et comprit qu’un lien étrange allait les lier… Soudainement, le Norvégien attrapa Maaya, l’étranglant de son bras. Apeurée, le peintre tenta de se défendre mais fut stupéfaite par la force de l’homme et la douleur força ses larmes à couler sur ses joues et ses cris à sortir de sa bouche, bientôt étouffés par le manque d’air. Murmurant à son oreille, Sigfrid l’informa de sa nature de vampire et desserra son étreinte. Tombant au sol, ne sentant plus ses forces, Maaya se mit à pleurer comme jamais, toussant, essayant de retrouver de l’air, le mot « vampire » ne résonnant qu’en toile de fond. Lorsqu’elle eut assez de force pour se redresser, le Norvégien était partit…
Ignorant pourquoi, le lendemain soir, Maaya se rendit de nouveau au théâtre et trouva bien là ce qu’elle y cherchait. Sigfrid l’accueillit d’un tendre baiser, avant de l’inviter à venir à Oslo, en Norvège. Maaya ne repoussa pas le contact de ces lèvres glaciales, ne doutant plus de son attirance pour le vampire, mais s’énerva tout de même et le traita de fou, pourquoi le suivrait-elle en Norvège ? Sa réaction fit sourire Sigfrid qui l’embrassa de nouveau et lui indiqua l’heure à laquelle il partirait le lendemain soir avant de disparaître. Maaya, hébétée, resta sur place, incapable de bouger.
Elle ne fit pas ses adieux à ses parents, elle ne leur dit rien. Elle ne prit pas ses toiles, elle ne prit rien. Son départ passa pour une disparition, et elle s’en fichait totalement, se doutant que jamais ses connaissances ne la retrouveraient, qu’elle ne reviendrait pas de sitôt.
La voiture l’attendait et Sigfrid, à l’intérieur, affichait un large sourire. Maaya ne dit rien, pas même lorsque les chevaux se mirent au trot, l’emmenant loin, très loin, dans les pays scandinaves. Tranquillement, la Japonaise ferma les yeux et demanda au vampire de ne pas cesser de lui parler en norvégien, même si elle ne le comprenait pas. Souriant, Sigfrid s’exécuta et parla des heures durant…
Le voyage durant longtemps, tant de temps passé ensemble n’avait fait que renforcer les liens entre Maaya et le Norvégien. Elle lui peignait des tableau, signant d’une lune noire à chaque fois, ce qui lui valu son surnom, elle lui parlait Japonais quand lui s’adressait à elle en Norvégien avec sarcasmes. Une nuit, elle lui offrit ses faveurs les plus intimes, et leur relation devint aussi bien amoureuse que paternelle. Pourtant, Sigfrid n’engendrait pas le peintre. Il la taquinait sur sa nature mortelle, sur la douceur et la chaleur de sa peau, mais il ne l’engendrait pas, ne buvait pas son sang, se contentant de rats, de bicheq et d’oiseaux. Ce fut elle qui demanda à ce que le Don Ténébreux lui soit accordé, et elle fut heureuse qu’il n’y oppose pas son refus…
Maaya ne fut pas agréablement accueilli à Adalrik, la demeure des Dragons. Mais elle ne s’en formalisait pas. Restant sans cesse avec Sigfrid, sauf lorsqu’elle visitait le pays, et notamment les Fjords, elle ne remarqua pas son intégration, et le fait qu’elle parlait maintenant le norvégien ne semblait pas même l’étonner. Mais la vitesse à laquelle elle s’intégra stupéfia le clan, qui fini, petit à petit, par s’adoucir et à l’apprécier. La jeune vampire, mise très tôt au courant de l’histoire des deux clans, montra par son sadisme et son cœur de glace à l’égard des humains, que le clan des Dragons lui correspondait parfaitement, et elle ne cacha pas sa fierté d’appartenir aux Ibsen. Le premier janvier 1801, Sigfrid, malgré qu’il ait célébré son union la veille avec Maaya et qu’il ait engendré d’autres humains, abandonna son trône à sa jeune femme. Personne ne contesta ce choix, après tout Maaya était bien l’aînée des enfants de Sigfrid. Immédiatement, Maaya montra son autorité en établissant des lois sur des crimes passibles de mort (meurtres ou blessure volontaire grave d’un vampire, qu’il soit Dragon ou Serpent), et aida de ce fait les chercheurs de l’élixir à avoir quelques corps d’immortels…

Profil psychologique : Maaya est plutôt sereine, mais il lui arrive d’avoir des réaction impulsives, principalement face à la colère ou la joie. Elle est souvent instable dans ses réactions, et est têtue au plus haut point. Elle adore lire et s’instruire, et aime à reproduire une image qu’un livre lui donne sur une toile. Mais ce qu’elle déteste, c’est une peinture bafouée, des sentiments trop généreux et les médisances à son égard. Même si elle est parfois renfermée, et complètement antisociable dans ses périodes de meurtres, Maaya ne suscite pas la peur mais plutôt la gentillesse. Elle a la discussion facile, et n’hésite pas à continuer une conversation engagée par un inconnu. Cela facilite ainsi sa chasse à l’humain, et fait également qu’elle est connue et appréciée par les fidèles d’Adalrik encore vivants…
Description physique : Maaya paraît avoir 20 ans. Elle est de taille normale, aux environs d’un mètre soixante-dix, et mince. Ses cheveux, coiffés d’une manière complexe la plupart du temps, mais parfois simplement détachés, sont d’un noir de jais, long, fin et soyeux. Son visage, à l’image de son corps est fin et de forme ovale, à la peau très pâle. Il est agrémenté par des yeux bridés bleu gris très clairs, et une bouche fine. Malgré ses joues creuse, son visage ne parait pas vraiment froid, pas même qu’il n’est chaleureux. Maaya est de nature sereine, son visage ne développe donc pas d’expression particulière sauf lorsqu’elle est en colère ou joyeuse. Sa nuque est tatouée d’un symbole tribal.

Passions : Elle est passionnée par l’art, la peinture donc, mais aussi l’écriture, et adore lire. La mort et le sang rythme d’ailleurs ses œuvres, dont la moitié se trouvent en salle de torture.
Signes particuliers : son tatouage tribal ; elle fume énormément
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