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 Séraphie de Valencourt

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Séraphie de Valencourt
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Séraphie de Valencourt


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MessageSujet: Séraphie de Valencourt   Séraphie de Valencourt EmptyVen 29 Juil à 15:43

Nom : de Valencourt
Prénom : Séraphie
Surnom : La Comtesse Sanglante

Âge : 308 ans
Date de naissance : 17 Novembre 1542
Lieu de Naissance : Château de Valencourt, France
Nationalité : Française

Race : Vampire
Clan : Dragons
Rang : Explorateur

Famille : Séraphie se tient au courant de tous ce qui touche, de près ou de loin, à la lignée des de Valencourt. Elle sait ainsi que le nouveau Comte, Silvian de Valencourt, vient juste d'épouser la Comtesse Armande de La Roche.

Histoire : Né au château de Valencourt un tragique soir de pluie, Léandre était déjà marqué par le Destin puisque son père était décédé dans l'accident de la calèche qui le ramenait chez lui, absent pour "des raisons politiques" disait-il, où accouchait sa jeune épouse sans qui le sache. Sa mère, très affaiblie par la naissance n'en n'avait plus pour longtemps également. Fils unique de l'héritier de la prestigieuse lignée de Valencourt et de celle de la non moins célèbre famille de Savoie, il était pourtant promit à un bel avenir au cœur de la plus haute société française.
Toutefois, les choses ne se déroulant jamais comme on les avaient prévues, c'est donc seul que le petit garçon dû commencer son combat. Heureusement, même si ses parents étaient décédés, il gardait une famille affectueuse et fut adopté par son oncle Robert de Savoie, homme d'une grande gentillesse et d'une sagesse exemplaire, philanthrope et intelligent, il restait l'une des figures emblématiques de la noblesse parisienne. Il était également homme d'affaire chevronné et prêt à donner à son neveu un enseignement qui lui servirait sûrement tout au long de sa vie d'adulte.
Quelques jours après la venue au monde du fils de sa sœur, Robert l'emmena donc vivre dans sa propriété préférée, celle qu'il possédait dans les collines du Pas-de-Calais et où il passait le plus de temps possible auprès de sa femme, Catherine.
Il vécut toute sa majorité auprès de son oncle et de sa tante, ceux-là n'eurent jamais d'enfants, ils considéraient Léandre comme le leur. Robert ne négligea pas l'éducation de son neveu, tant sur le point musical que sur le point intellectuel. Celui-ci préférait le violon au latin, mais ne voulant pas décevoir son oncle, il lui obéissait au doigt et à l'œil.

Les jours, les mois et les années se succédaient. Tous se ressemblaient. Léandre était devenu un jeune homme de18 ans, très beau, mais très pauvre pour sa classe de Comte. Il devait retourner au château de Valencourt qui lui revenait de droit maintenant, pendant les 18 dernières années, le domaine de Valencourt fut dirigé par des hommes de confiance qui lui laissèrent sa place de "chef" sans opposer de résistance. Le jeune homme se promit de les remercier.
Maintenant, il devait se trouver une femme à épouser. Elle devait avoir une dote assez élevé pour rénover quelques parties du château, ravagées par les intempéries. Comme cela se faisait à l'époque, il épousa une riche bourgeoise de deux ans sont aînées. Lui gagnait en richesse, et elle gagnait le titre de noblesse. Ce mariage arrangé leur convenait parfaitement, restait le problème de la couche. En homme au tempérament soumis, et Acaciane, en femme au caractère fort, c'est elle qui décidait du moment où elle lui donnerait sa virginité. Léandre ne voulait pas brusquer son épouse, il avait toujours respecté les femmes. Il ne lui vint jamais à l'esprit de la tromper d'ailleurs.

Petit à petit, les deux mariés, apprirent à se connaître, puis à se respecter et s’apprécier. Acaciane consentit à se donner à Léandre, ce ne fut que pour assurer la descendance, disait-elle. En réalité, elle commençait à aimer son époux. Malgré la "mode" qui était depuis longtemps d'avoir plusieurs maîtresses, Léandre ne la trompa jamais, elle lui en était très reconnaissante d'ailleurs.
Quatre ans après leur mariage vient au monde une fille, Séraphie. Elle ne naquit pas un soir de pluie, comme son père. Ce fut au milieu d'une journée ensoleillée, ce qui était rare pour la saison. Léandre prit cela pour un signe du Destin.

Léandre ne tarda pas à avoir d'autres enfants, durant les vingt années qui suivirent il fut encore treize fois père (Michelle, Diane, Laurent, Edouard, Margot, Hercule-Pierre et Charles, Mathilde, Catherine, Robert, Perceval et pour finir, Frédérique). Acaciane mourut lors de l'accouchement de leur dernier enfant qu'il appela Henri. Sur ses quatorze enfants, que sept atteignirent l'âge adulte (Séraphie, Diane, Hercule-Pierre, Catherine, Perceval, Frédérique et Henri). Michelle, Laurent et Charles moururent en bas âge. Margot et Mathilde avant d'atteindrel'adolescence de tuberculose, et Edouard et Robert, mort au combat.
Ses années de famille furent ponctuées de rire, de tendresse, de dispute parfois. Léandre se montrait un père patient et indulgent, surtout avec Séraphie, mais il n'en n'aimait pas moins ses autres enfants.

La mort des ses enfants affectèrent Léandre, ce fut surtout pour Hercule-Pierre pour qui il eut le plus de peine, celui-ci venait de perdre son jumeau. A la naissance de Perceval, sa fille aînée, Séraphie, sa petite préférée, disparue soudainement. Elle se volatilisa, laissant derrière elle son enfant illégitime Annya. Léandre s'occupa de sa petite-fille avec beaucoup plus d'attention que ses autres enfants. Deux ans après, sa femme décéda. Sa mort l'affecta beaucoup, il ne s'en remit jamais. On dit qu'il est mort de chagrin. Le trône fut laissé à Hercule-Pierre.


Profil psychologique: Femme de tête et de cœur, Séraphie a le sang chaud tout en restant posée et d'un grand calme. Etrange mélange de glace et de flammes, elle déstabilise souvent par sa franchise mêlé de subtilité ainsi que par son charisme. Douce mais autoritaire, cynique mais sympathique, elle aurait été tout à sa place en femme "du peuple" même si ses manières sont celles d'une dame. D'une intelligence aigue, elle fait partie intégrante de la haute société mais est tout de même moderne et se comporte de façon normale : peu attirée par le strass et les paillettes que son statut social assurent, elle préfère être tranquille dans une petite maison perdue au milieu du Pas-de-Calais avec une grosse pile de livre et une nourriture simple. Fière mais pas orgueilleuse, elle est très forte psychologiquement et physiquement et ne se laisse jamais abattre, faisant toujours preuve de beaucoup de courage et de détermination. Mature comme n'importe quelle femme peut l'être, Séraphie distille ses sourires, charmeurs le plus souvent, et ne se lie que très peu, préférant la solitude aux grandes affluences. Fantasque, indépendante, pleine d'imagination et dotée d'une grande tendance à n'en faire qu'à sa tête, Séraphie sait cependant faire profil bas lorsqu'il le faut, mais en ayant toujours une idée derrière la tête : en fait, il lui arrive parfois d'être un peu… Mesquine. Sensuelle et sensible, elle aime mener la danse mais également se confronter aux autres. Elle est cependant un peu hautaine même si elle reste simple la plupart du temps.

Il est difficile à croire qu'une telle femme puisse appartenir au clan des Dragons, pourtant, elle a une aversion particulière pour les humains. Séraphie sait bien que sa propre survie dépend de la leur, mais ce n'est pas une raison suffisante pour les respecter. Elle tue ses proies d'une manière particulièrement horrible, son surnom ne vient pas de là pour autant. Elle boit le sang de ses proies à petites gorgées, ceux sont des sortes de "garde-mangé vivant". Mais leur fin se termine dans une souffrance et une atrocité que l'on ne croirait pas pour une femme à l'apparence si douce.

Même si elle se montre simple, comme dit plus haut, ce comportement est "réservé" aux vampires. Dés que Séraphie a trouvé sa proie, il se passe une véritable métamorphose dans le comportement et les mimiques de la jeune femme. Elle sait manipuler les plus faibles en leur montrant un semblant d’affection, en les réconfortant, en trouvant les bons arguments pour détruire leur vie et en dévorant leurs rêves peu à peu. Elle aime séduire, elle aime plaire, mais elle aime surtout le sang chaud qui lui teinte les lèvres et la dureté des ses dents qui s’enfoncent dans la chair.

Patiente, elle sait attendre à point les proies les plus appétissantes.

Description physique: On entend depuis toujours parler de Séraphie de Valencourt de la meilleure façon, tant sur le plan physique que sur celui intellectuel. Nous nous intéresserons ici à l'apparence de Séraphie. Si elle est d'une taille très moyenne pour une femme de son âge (environ 1m60), la jeune femme compense par l'insolente beauté de ses traits et de son corps : de type européen, elle possède une peau pâle d'une douceur d'une pétale de rose, et son visage est aussi fin que parfaitement proportionné. Dotée de magnifiques yeux de chat oscillant entre vert, gris et bleu cerclé d'argent abrités par des sourcils qui soulignent un front lisse ; ainsi que d'une bouche aussi rouge que le sang et au parfum de cerise, Séraphie a également un nez fin et droit, des joues légèrement rosées comparé à la pâleur de sa peau, ainsi qu'un profil, si il est volontaire, affirmé et gracieux. Son corps est souple comme une liane mais d'un port altier et façonné de courbes abruptes mais délicieuses, tandis que dans la courbe de son dos bouclent de longues et soyeuses mèches châtaines foncées aux reflets changeants, qui étaient dorés sous la lumière du soleil, et dorénavant argentés sous celle de la lune.
Son visage et ses manières étant assurés, elle peut se dissimuler derrière une tenue d'homme efféminé avec aise, s'adaptant aux positions et à la gestuelle d'un homme.

Dès que Séraphie a repéré sa proie, elle tentera tout pour le, ou le plus souvent la séduire. Etrangement, elle est attirée par les femmes quand il s'agit de proie. Elle semble serpenter le long des couloirs, avec des pas silencieux et un regard séducteur, qu’elle lance à qui en veut en voilà, avec une gestuelle féline, une attitude sensuelle, la voix grave et mielleuse. Elle paraît à peine sortit de l'adolescence, mais cette attitude un peu libertine la vieillit et le pervertit aussi, certes. La pâleur de sa peau la fond dans le décor, mais lorsqu’elle parle, tout le monde l’écoute. Ses demi-sourires sont célèbres et ses sourcils froncés et perplexes aussi. Ses mains, longues et blanches, aux ongles longs, semblent minces et belles, elles sont souvent admirées.

Signe particulier : À une tache en forme demie lune sur la hanche gauche. Fille nature, elle ne se maquille pas (c'est à peine si elle connaît l'existence de la poudre ou des mouches) et ne porte aucun bijou.

Talent : Douée d'une très grande culture littéraire, elle est incollable sur tout ce qui touche les œuvres anciennes (mythologie, légendes…). Egalement écrivain et musicienne de talent. Elle se montre douée pour apprendre les langues étrangères, c'est en priorité Séraphie que l'on contacte pour aller chercher des objets. Et surtout, comme tout vampire qui se respecte, le sang frais des humains.

(la suite bientôt)


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MessageSujet: Re: Séraphie de Valencourt   Séraphie de Valencourt EmptyVen 29 Juil à 22:43

j'éspere la suite avec impatience ! ^^

préviens nous lorsqu'elle est mise, et tu pourras jouer Mr.Red
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MessageSujet: Re: Séraphie de Valencourt   Séraphie de Valencourt EmptyDim 31 Juil à 0:26

Voilà la suite Wink Désolée, je dois la faire en plusieurs partie sinon je dépasse "la limite autorisée"

Histoire: Née au château de Valencourt au milieu de l'après-midi, l'accouchement fut, paraît-il, long et fastidieux pour la mère. Mais lorsque Séraphie apparut, sa mère lui pardonna de suite la terrible douleur qu'elle lui avait fait subir. La petite enfant fut choyée et aimée par ses parents, durant les trois premières années de sa vie, elle fut fille unique. Si on lui avait dit à cette époque qu'elle aurait treize frères et sœurs ! Son père, Léandre, se libérait le plus souvent qu'il pouvait de ses obligations politiques pour passer du temps avec sa fille, lui pardonnant ses bêtises et exauçant le moindre désir de sa fillette. Peu de temps après, Séraphie eut une petite sœur - cette fois là l'accouchement dura moins d'une heure - Michelle, suivit dix mois plus tard de Diane. Avant même d'avoir apprit à parler, Michelle mourut. La disparition de sa sœur ne traumatisa pas Séraphie, elle n'a aucun souvenir de sa soeur, alors pourquoi la pleurait-elle ? Son père consola sa mère comme il pouvait, ce qui donna naissance Laurent, le premier héritier de la famille. Deux mois après sa naissance, il mourut aussi. Cette fois-ci le choc se passa un peu mieux pour Acaciane. Séraphie n'éprouva toujours aucun chagrin. Elle s'amusait avec sa sœur Diane à toutes sortes de jeu, à la poupée, à se cacher, jouer dans le domaine.
L'année suivante, Séraphie commença son apprentissage avec un précepteur. Tous comme son père avant elle, la douce enfant adorait la musique, son père décida qu'elle suivrait des cours de violon et de clavecin alors. La même année, Edouard vint au monde. Séraphie s'occupait de sa petit frère, le prenait dans ses bras, le lavait, ce qui était le travail des servantes normalement.

Les années passèrent entre les cours de musique, la de Margot, suivit deux ans plus tard par celle des jumeaux, l'apprentissage du latin et de la littérature. Deux ou trois fois, ses parents s'absentèrent, invités à Paris par des amis. Laissant la maison entre les mains du précepteur qui était un homme de confiance. Lorsque ses parents rentrèrent, sa mère était une nouvelle fois enceinte. Ce fut encore une fille, Mathilde.

L'apprentissage de Séraphie continuait, mais de puis quelques temps, sa nouvelle passion était dans les langues étrangères. Elle parlait parfaitement bien le latin, mais ce n'était qu'une langue morte ! Ce n'était pas important ! Au cours des douze ans de l'adolescente, son père engagea alors un autre précepteur, spécialisé dans l'apprentissage des langues. Celui-ci parlait parfaitement bien six langues différentes, il ne donnait ses cours qu'après le soupé, car le matin et l'après-midi, Séraphie devait étudier avec son autre précepteur. Cela convenait parfaitement bien au jeune homme. Celui-ci lui enseignait l'allemand, l'anglais et le norvégien simultanément. Ayant apprit le latin, la jeune fille se repéra assez bien grâce aux bases latines de chacune de ses langues, de plus, l'allemand et l'anglais se ressemblait sur certains points.

Au cours ses seize ans, la jeune fille, assimila parfaitement bien chacune de ses langues. A chaque rencontre avec son précepteur, celui-ci lui posait une question dans n'importe quelles langues qu'elle avait apprise, Séraphie lui répondait alors dans la langue en question, délaissant de plus en plus son accent français. A chaque cours avec Gauderik Lescinsky, la jeune fille se rendait compte qu'elle éprouvait de drôle de sentiment pour ce jeune homme… N'était-ce pas de l'amour ? Mais épouser un bourgeois, son père ne le voudrait pas. Même s'il avait déjà refusé bon nombre de proposition de mariage, il ne voudrait jamais qu'elle épouse un étranger. Il acceptait toujours ce que lui demandait Séraphie, mais il ne fallait pas lui demander la lune. Peut-être qu'avec le temps, ces sentiments changeront... La naissance de Catherine allait peut-être lui changer les idées après tout. Durant la même année, Margot et Mathilde attrapèrent la tuberculose. Séraphie passa toute ses journées à l'église à prier pour ses deux petites sœurs, elle allumait des cierges pour elle, implorait la Sainte Vierge, mais… Rien n'y fit. Elles succombèrent chacune à leur tour, et pour rien n'arranger, Charles lui aussi. Pas de tuberculose, mais à cause de sa faible consistance physique.

La jeune adolescente devient inconsolable, pleurant la mort des son frères et ses sœurs. Pour lui remonter le moral, son précepteur Gauderik vint lui tenir compagnie. Séraphie en oubliait presque son attirance à l'égard de ce bel homme, à cause des récents décès. Mais le jeune homme semblait éprouver des désirs à son égard. A cause du chagrin ou pour sentir aimer, Séraphie se donna entièrement à lui, ce fut une nuit magique, mélangeant caresses passionnées et baisers torrides. La jeune fille n'arrivait pas à croire de se retrouver avec ce beau jeune homme, cet amant si attentif, voulant lui donner temps de plaisir au milieu de ses "je t'aime".
Leur nuit de passion engendra un enfant (eh oui, il n'est pas vampire ^^). Acaciane de Valencourt le su bien assez vite, grâce à ses multiples grossesses, elle savait repéré une femme enceinte. Ce fut un choc pour elle, elle annonça de suite la nouvelle à son époux. Celui-ci convoqua sa fille et lui demanda qui était le père, devant le mutisme de sa fille, il renvoya tous les jeunes hommes travaillant au château, y comprit Gauderik Lescinsky qui n'était pas au courant de la grossesse de Séraphie. Ce fut un déchirement pour la jeune fille, elle ne le pardonna pas à son père et ne lui adressa plus la parole. Etait-il vraiment obligé de virer tous les hommes ? Quoiqu'il en soit, elle accoucha d'une magnifique petite fille à la peau rosée, le nouveau née fut appelée Annya. Deux mois après, Acaciane mit au monde un nouvel enfant, Robert en hommage à l'oncle de Léandre décédé l'année précédente.

La jeune mère s'occupa de sa fillette, ne parlant qu'à ses frères et sœurs, ignorant délibérément ses parents. Toutefois, son père engagea un autre précepteur, il ne fallait pas laisser ses enfants sans éducation. Séraphie n'avait plus besoin de cours, elle croisait quelques fois le nouveau précepteur un homme étrange, avant l'aube, réveillée par sa fille en pleine crise de larme. Pourquoi étrange ? Il avait un comportement assez étrange, difficile à décrire… Mais sa seule présence faisait froid dans le dos. Il mangeait toujours seul, refusant la compagnie. Séraphie trouvait que son père avait été complètement idiot d'engager un homme pareil, mais elle ne pouvait pas lui en faire part, elle ne voulait toujours pas lui parler.
L'ambiance au château devint de plus en plus étouffant pour la jeune fille. Elle ignorait tous les signes d'attentions que ses parents pouvaient bien lui faire, elle avait déshonoré sa famille avec un enfant illégitime, mais elle était toujours en âge de se marier… Et cette perspective d'avenir ne lui convenait pas du tout. Séraphie envisageait de plus en plus de quitter sa famille, elle ne ressentait plus d'émotions depuis le départ de Gauderik, son cœur était vide, elle n'avait plus le moindre sentiment. Elle souffrait de vivre ici, et partir définitivement était une option intéressante. La jeune fille laisserait son enfant au soin de ses parents, après tout, ils s'étaient toujours bien occupés de leur petite-fille, alors, pourquoi cela changerait-il ?

A la veille des se dix-huit ans, au soir, Séraphie fit ses préparatifs pour son départ. Sa décision de partir était définitive et sans retour, vivre entourée de tous ses gens pour qui elle n'éprouvait que de l'aversion, ça en devenait insupportable !

La jeune fille partir à cheval, avec quelques sous. Elle irait à la capitale. Le château de Valencourt se trouvait à plusieurs kilomètres de Paris, plus précisément, dans l'actuel Oise. Séraphie mit une semaine avant d'arriver à Paris, elle s'installa dans un endroit insalubre. C'était tous ce qui était dans ses moyens. Elle ne tarda pas à fréquenter des cabarets, comme Le Chien Debout notamment, des endroits où toutes filles de bonne société ne devaient pas se retrouver, c'était de véritable coupe-gorge… Mais c'était si excitant de se retrouver là-bas, sachant que notre vie était en danger ! Elle fit la connaissance d'un vieil homme qui se disait un "savant allemand", il ne lui donna pas son nom… Il recherchait quelqu'un de confiance pour faire un trafic un peu particulier. Séraphie accepta de suite l'offre que lui proposait le savant. La jeune fille devait se débrouiller pour trouver des têtes de jeunes hommes en bonne santé pour ses études sur le cerveau. C'était quelqu'un d'avant-gardiste pour l'époque, Séraphie le trouvait complètement fou, mais il lui payait 10 livres d'avance. Le commerce que lui proposait l'Allemand paraissait équitable à la jeune fille, restait le problème comment faire venir ces jeunes hommes, et que faire des corps après ? Mais la question se résolut très vite. Elle se fit passer pour une comtesse étrangère, la comtesse Jabirowska. Séraphie se débrouillait pour faire venir des pauvres dans son logement de la rue Courtalon. Avec un accent envoûtant, elle parvenait à gagner la confiance de ces hommes. Ensuite, elle les laissait seuls dans la chambre, et revenait quelques instants plus tard en compagnie de quatre colosses barbus armés de couteau de boucher. La "comtesse Jabirowska " regardait ensuite la fin tragique de ses victimes avec un petit sourire cruel. Pour ce qui était des corps, elle les revendait à des étudiants en médecine pour 10 livres.
Bientôt, elle se lassait de devoir trouver elle-même les jeunes gens, Séraphie engagea une vieille femme de confiance qui s'occupait d'amener les futurs victimes. Quant à elle, la comtesse devait juste rester dans la chambre dans un déshabillée. Elle trouvait cela assez amusant, de plus, la plupart des victimes étaient des mendiants. Qui donc les réclamerait ?


Dernière édition par le Dim 31 Juil à 0:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Séraphie de Valencourt   Séraphie de Valencourt EmptyDim 31 Juil à 0:28

On ne tarda pas à parler des trente disparus dans le tout Paris. Des rumeurs commençaient à circuler. Pour les uns, ce sont des juifs qui enlèvent de jeunes chrétiens afin de les immoler par la haine du Christ. Pour d'autres, il s'agirait d'une mystérieuse princesse qui prend des bains de sang dans l'espoir de guérir d'un mal inexplorable. Comme on pouvait s'en douter, la police s'en mêla, leur résultat ne fut pas concluant. La seule chose dont elle était sure, c'était qu'aucun des disparus n'était attaqué pour son argent. Aucune piste apparente. Le seul moyen était qu'un policier se désigne pour faire l'appât. L'un d'entre eux se dévoua, Jean-Baptiste Léveillé. Le jeune homme se rendit dans le cabaret Le Chien Debout, un bouge assez malfamé. Des policiers, déguisés eux aussi, étaient tout autour du cabaret, certains à l'intérieur même. Léveillé ne tarda pas à se faire aborder par une vieille femme, par un signe discret des policiers, il suivit la vieille dame jusqu'à une maison de la rue Courtalon. La vieille dame lui tient ses propos:
"Je viens vous voir de la part de ma maîtresse, la comtesse Jabirowska. Ma maîtresse est une comtesse polonaise. La malheureuse ! Elle est jeune et belle, mais est victime d'un mal étrange.
- Un mal étrange ?
- - Oui, une fièvre maligne s'empare d'elle certains soirs. Une fièvre que seul peut apaiser un jeune amoureux…"

La vielle femme frappe à une porte basse… Elle s'ouvre ET Jean6Baptiste reste interdit. Une ombre vient vers lui. C'est la comtesse Jabirowska. Elle est vêtue - si l'on peut dire - d'un déshabillé sur lequel elle a jeté une cape. Elle le détaille longuement avec un sourire et prononce avec un accent envoûtant:
"Viens…"
Jean-Baptiste s'était toujours demandé à quoi ressemblait le paradis. Eh bien, maintenant, il sait: cela doit être très proche de ce qui est en train de lui arriver.
La porte s'est refermée, la comtesse Jabirowska le conduit dans une grande pièce mal éclairée. Pour tout mobilier, un lit. Elle lui fait signe de s'asseoir.
"Attend un instant…"
Et elle disparaît dans un bruissement de soie par une porte au fond.
Brusquement, Jean-Baptiste quitte son nuage, il ne s'appelle pas Léveillé pour rien. Il ressent une désagréable sensation… Il est peut-être en train de lui arriver ce qui est arrivé aux trente autres. Il ne voit pas ni comment pourquoi la comtesse Jabirowska ferait disparaître ses amants, mais il vaut mieux être prudent...
Il se lève, il retrouve ses instincts de chien de chasse, son flair. Et justement, il sent une petite odeur suspecte. Elle vient de ce mur couvert d'une tapisserie représentant une scène mythologique. D'un geste, il l'a soulève… Il y a une niche derrière… Jean-Baptiste manque de se trouver mal: sur les rayons sont alignés une trentaine de tête embaumées. Des têtes de jeunes gens, des bruns, des blonds; leur seul point commun et qu'ils ont dû être très beau quand ils étaient en vie…
Le jeune homme se précipite sur la porte par laquelle il est entré. Elle est fermée à clef… La vieille sans doute. Il se met à crier au secours. C'est à ce moment que l'autre s'ouvre…
Quatre colosses barbus entrent dans la pièce, armés chacun d'un couteau de boucher. La comtesse Jabirowska, ou celle qu'elle prétend telle, les suit avec un sourire cruel…
Le jeune homme redouble ses cris. Non, ce n'est pas le paradis, c'est l'enfer !
Il y a un vacarme épouvantable, des coups sourds emplissent la pièce. Les quatre assassins s'immobilisent. La comtesse pousse un cri:
"La police ! C'est un piège !"
Ils tentent de s'enfuir, mais trop tard. Les hommes sont déjà là.

La comtesse Jabirowska est interrogée le lendemain, dans la prison du Châtelet, par le lieutentant-général en personne. Elle a été conduite dans la salle des tortures, pour Séraphie, il est clair qu'elle ne doit pas révéler sa véritable identité. Elle sera la comtesse Jabirowska jusqu'au bout. Elle est assise sur un tabouret, les bras croisés sur la poitrine. La jeune femme est d'une pâleur impressionnante ! Avant même que le lieutenant est pu pauser la moindre question, la comtesse annonce:
"Je vais tout vous dire… Ces têtes ont me les avait demandées. Un Allemand… Un savant dont je ne connais pas le nom. Il en avait besoin pour faire des expériences sur le cerveau. Mais il voulait uniquement des têtes de jeunes gens en bonne santé Il me les payait d'avance dix livres chacune…"
Le lieutenant s'exclame.
"Ainsi donc, vous faisiez commerce des têtes humaines !?
-Oui…
-Et les corps, qu'en avez-vous fait ?
-Je les ai vendus aussi, à des étudiants en médecine…

Inutile de préciser que l'affaire a fait sensation à Paris ! Les crimes de cette créature démoniaque et superbe sont l'objet de toutes les conversations et excitent au plus au point la curiosité…
C'est d'ailleurs ce qui a sauvé la vie de Séraphie. Quelques jours plus tard, un mystérieux et certainement haut personnage masqué est venu à la prison du Châtelet, en début de soirée. Il a demandé de rencontrer seul à seul le lieutenant-général, et ce dernier lui a remis sans difficulté la belle prisonnière.
On a revu la comtesse le soir même, dans une soirée un peu particulière que donnait Catherine de Médicis (précision historique: son fils Charles IX est roi. Il a douze ans vu que là nous sommes en 1562). Au petit matin, Séraphie s'est retrouvée seule dans sa chambre du rez-de-chaussée avec la fenêtre ouverte… Elle n'a eu qu'à enjamber la fenêtre pour se retrouver dehors.

Le souffle court, Séraphie courait le long de la rue Saint-Denis. Lors de la soirée, elle s'était faite aborder par bon nombre de personne lui posant des questions sur l'histoire des trente disparus. Elle leur répondait avec un certain agacement, n'avait-il pas autre chose à faire ? Elle n'était pas un bête de foire ou un trophée que l'on exhibe ! Les invités commençaient à la surnommer "La Comtesse Sanglante". Quel surnom idiot.
L'homme qui l'avait emmené loin de la prison était si intriguant… Il n'était pas comme tous ses autres imbéciles à lui poser des questions, au contraire, il l'avait félicité de son audace. Les meurtres qu'elle avait commis ne semblaient pas important à ses yeux. C'était lui qui avait demandé à ce qu'elle est la chambre du rez-de-chaussée, durant la soirée, il lui avait demandé de le retrouver à l'appartement qu'il louait dans la rue Saint-Denis. Sur le moment, Séraphie pensait qu'il l'était un imbécile, comment pouvait-elle s'enfuir ? Mais il semblait qu'il avait tout prévu…
La jeune fille frappa à la porte de la maison, elle espérait que l'adresse soit vraie… Déjà que dans le prison la corde la guettait, là, après s'être enfuie, si on la retrouvait, elle ne donnait pas chère de sa peau !
Un laquais ouvrit la porte. Il semblait au courant de sa visite, il la pria de le suivre jusqu'à une chambre, son maître viendrait lui rendre visite en début de soirée. Séraphie s'assit sur le lit, elle trouvait cette situation fort étrange. Pourquoi en début de soirée ? Oh et puis, peu importe. Elle était fatiguée, un peu de repos lui ferait le plus grand bien. La jeune fille commença à s'endormir. Elle rêva de son beau bienfaiteur, la froideur de sa peau qui ne demandait qu'à être réchauffée. Son regard si doux. Tout le corps de Séraphie réclamait la présence de ce jeune homme.
La jeune femme se réveilla vers 18h00. Il faisait toujours jour, tant mieux ! Elle avait un peu de temps pour faire sa toilette. Deux heures après, Sir William de Waskewood. Celui-ci l'emmena en promenade le soir même. Il lui fit une révélation des plus étranges, William disait être vampire. Séraphie ne le cru pas, mais pour lui montrer sa véritable nature, William tua un mendiant dans la rue déserte. Contre tout attente, la jeune femme n'eut pas peur du vampire, elle n'en fut que plus attirée par lui. Elle lui demanda de la faire vampire, mais William préférait d'abord lui faire suivre un apprentissage.

William passa près des six mois suivants à initier Séraphie à la façon dont pense les vampires, leur façon de manipuler, de tuer les humains. Le monde des vampires passionnait la jeune femme, elle se montrait attentif à tous ce que lui apprenait William, et regardait avec un attention toute particulière les manières qu'ils tuaient ses proies.
Ils partirent en direction de Londres, car la disparition récente de la comtesse Jabirowska restait l'un des sujets de discussion préféré de la haute société parisienne. Dans le bateau partant pour l'Angleterre, Séraphie s'arrangeait pour fournir à William les proies. Leur mort était dû à une fièvre, disait le capitaine de bateau.
L'apprentissage de la jeune femme continua en Angleterre. Finalement, William trouva qu'il était temps de passer à la pratique. Le jour de ses vingt-et-un ans de la jeune femme, il lui fit le cadeau qu'elle attendait avec temps d'impatience. Ce fut lors d'une étreinte passionnait qu'il lui offrit ce cadeau. Séraphie sentit les crocs de son aimé se planter dans la douche chair de son coup. Ce qui devait être la douleur se transforma en plaisir, oui pour elle ce ne fut qu'un doux plaisir. De plus c'était William qui la mordait, elle se sentait en sécurité avec lui.

Après l'avoir vidé presque entièrement de son sang, William s'ouvrit son poignet gauche à l'aide de ses dents. Son sang coulait lentement de son poignet, il prit délicatement la tête de Séraphie pour qu'elle puisse boire, goûter elle aussi à cet élixir de vie éternelle.
Ce fut la plus bonne chose que Séraphie n'eut jamais but. Au début, elle buvée doucement, de peur de faire mal à William. Mais devant son sourire rassurant, elle commença à boire dans un doux bruit de succion ce breuvage exquis. D'un geste de la main, le vampire lui fit signe d'arrêter, la nouvelle vampire s'exécuta devant cet ordre.
A ce moment là, la vision de Séraphie se troubla. Elle voyait tout flou, les images se brouillaient devant elle. Allait-elle mourir ? Est-ce que tout s'était déroulé comme il le fallait ? Elle commença à se tortiller sur le lit, une douleur comme elle n'en avait jamais connu s'empara d'elle. Elle aurait bien voulu hurler, mais aucun son ne sortait de sa gorge. Séraphie entendit William lui parler, elle n'entendait que des bribes de parole "Tout va bien se passer… Calme toi…" mais la jeune femme avait du mal à le croire. Elle se sentait mourir, son cœur ne battait plus… Sa respiration se saccadait… Puis…
Les images devenirs de nouveau visibles, elle voyait nettement William penché sur elle, visiblement inquiet. Après quelques instants de repos, Il l'emmena dehors, elle devait tuer maintenant.

Les deux vampires se rendirent dans un quartier malfamé d'une rue londonienne. La première victime de Séraphie devait être quelqu'un de pauvre, William lui disait qu'il fallait éviter les personnes hautes placées, car il y avait plus de risque d'avoir des témoins.
La jeune femme choisit une mendiante à l'apparence fragile. Elle opposerait moins de résistance. Séraphie s'avança vers sa proie, elle lui tint des paroles réconfortantes, lui proposant de dîner chez elle. Le visage rayonnant de cette femme arracha un sourire cruel à la jeune vampire. Qu'il était amusant de jouer avec ces pauvres petits humains !
Arrivés chez elle, William restait un peu en retrait, mais ne partit pas pour autant. Car si il y avait un problème, lui qui était un vampire plus expérimenté pourrait intervenir.
Séraphie rassura la mendiante, dès que celle-ci eu pleinement confiance en sa bienfaitrice, la jeune vampire se jeta sur elle, lui mordant avec plaisir le cou. Le sang de cette femme lui parut moins bon que celui de William, mais elle avait tellement faim ! Elle n'eut pas besoin de l'intervention de son compagnon, elle n'avait pas bu entièrement le sang de la mendiante. Il lui restait quelques secondes à vivre, elle voulait absolument voir la vie quittait son corps. Quand cela fut fait, William lui dit qu'il valait mieux éviter d'accompagner des humains ici, car le plus difficile était de se débarrasser des corps.
Tous deux portèrent le cadavre de la femme jusqu'à une rue de Londres, ils la jetèrent sans ménagement, et leur chasse continua. Séraphie se délectait de plus en plus du sang de ses victimes.

La vie à deux du couple lassait de plus en plus Séraphie, elle n'était pas faite pour vivre éternellement avec quelqu'un. Elle avait l'étrange impression d'être la possession de William plutôt que sa compagne. De plus, il ne voyait pas assez grand dans la mort de ses proies. Il se contentait de mendiant, et Séraphie estimait mériter mieux qu'eux. Ainsi, elle le quitta un soir, après avoir passé dix ans en sa compagnie, elle partit disant vouloir passer la soirée seule.
La jeune femme se réfugia en Italie, ce pays l'avait toujours passionné. Elle apprit parfaitement bien la langue du pays, sa passion pour les langues étrangères ne l'avait jamais quitté. Séraphie passa une centaine d'année dans ce pays, puis le quitta pour la Pologne, qu'elle quitta pour la France… et ensuite, ce fut le Nouveau Monde. Elle passa ses deux cents premières années de vampire à voyager, faisant la connaissance de quelques vampires.

Séraphie entendit parler des clans formés, celui des Dragons et celui des Serpents. Elle trouvait ce dernier complètement idiot, les humains étaient faits pour être dominés par les vampires, c'étaient leur unique raison de vivre. A croire qu'elle en oubliait presque son existence en tant qu'humaine… Et puis, s'il voulait préserver les humains, ils n'avaient qu'à arrêter de créer de nouveau vampire. Elle-même ne l'avait jamais fait, elle n'en voyait pas l'intérêt, car Séraphie ne s'attachait pas beaucoup aux personnes qui l'entouraient, elle avait tué tous ceux qui lui avait fait du mal… Elle avait retrouvait Gauderik, il devait avoir quarante-cinq ans, elle l'avait achevé. Il lui avait fait tant de mal qu'il ne méritait pas de continuer à vivre. C'est pour ça que le choix de son clan se fit très vite, elle se rendit en Norvège et fut de suite accueillit dans de bonne condition. On lui parlait des recherches que les vampires faisaient dans la quête de l'élixir, Séraphie se proposa de les aider en tant qu'exploratrice, sa faciliter dans les langues leur serait sûrement utile.
Les années passèrent comme la neige fond au soleil, Séraphie aidait les Dragons dans leur recherche, elle ramenait des objets étranges de ses explorations, pensant que ça pouvait aider. Elle accueillit avec froideur la nouvelle venue qui osait se prétendre le nouveau chef. Mais devant ses manières et sa façon de diriger le clan, elle ne tarda pas à gagner la confiance et l'estime chez Séraphie.
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MessageSujet: Re: Séraphie de Valencourt   Séraphie de Valencourt EmptyDim 31 Juil à 1:32

quelques petites fautes d'ortographe, et il manque aprfois des mots à certains endroit, mais mis à part ça, tu peux jouer Mr.Red

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